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Goodbye TINA : L’inflation offre des opportunités pour mieux diversifier.

Source: L’Echo

La hausse de l’inflation et des taux d’intérêt a rendu l’investissement en obligations intéressant pour la première fois depuis des années, souligne Gilles Coens chez MeDirect.

L’inflation est de retour. Presque du jour au lendemain, le contexte financier mondial s’est vu complètement bouleversé. Si, jusqu’à tout récemment, les banques centrales craignaient surtout une inflation négative (ou une déflation), elles sont désormais confrontées à des hausses de prix atteignant 10% ou plus dans de nombreux pays. Elles ont donc dû changer leur fusil d’épaule. Alors que, ces dernières années, elles maintenaient les taux d’intérêt au plus bas, voire négatifs, elles les relèvent dorénavant à un rythme rapide pour tenter de contenir l’inflation. “Le retour de l’inflation remet les obligations sur le devant de la scène en tant qu’alternative intéressante à votre épargne”, a déclaré Gilles Coens, Senior Product Manager chez MeDirect Belgique, lors d’une présentation à Finance Avenue.

Ce principe n’a pas été respecté durant l’année qui s’achève. “Il est très exceptionnel qu’il existe une corrélation positive aussi forte entre les actions et les obligations. Au cours des 100 dernières années, cela ne s’est produit que trois fois: en 2022, en 1969 et en 1931. Nous avons vécu quelque chose d’unique.”

Opportunités

“Jusqu’à présent, les investisseurs n’ont connu que les inconvénients d’une inflation élevée et d’une hausse des taux d’intérêt, mais cela pourrait changer en 2023”, prédit Gilles Coens. L’année à venir ne s’annonce pas rose, les prévisions de bénéfices des entreprises étant en baisse. Il semble toutefois que l’importante récession de 2023, prévue depuis longtemps, sera moins grave que ce que l’on redoutait. On peut aussi s’attendre à une retombée des chiffres de l’inflation. “Nous ne devons pas nous faire d’illusion, l’inflation restera relativement élevée. Mais elle se stabilisera autour de 3% plutôt qu’à son niveau actuel de 10% ou plus.” Les banques centrales devront probablement encore relever les taux d’intérêt, mais peut-être moins rapidement et moins fortement que cette année.

La hausse de l’inflation et des taux d’intérêt a rendu l’investissement en obligations intéressant pour la première fois depuis des années, souligne Gilles Coens chez MeDirect.

L’inflation est de retour. Presque du jour au lendemain, le contexte financier mondial s’est vu complètement bouleversé. Si, jusqu’à tout récemment, les banques centrales craignaient surtout une inflation négative (ou une déflation), elles sont désormais confrontées à des hausses de prix atteignant 10% ou plus dans de nombreux pays. Elles ont donc dû changer leur fusil d’épaule. Alors que, ces dernières années, elles maintenaient les taux d’intérêt au plus bas, voire négatifs, elles les relèvent dorénavant à un rythme rapide pour tenter de contenir l’inflation. “Le retour de l’inflation remet les obligations sur le devant de la scène en tant qu’alternative intéressante à votre épargne”, a déclaré Gilles Coens, Senior Product Manager chez MeDirect Belgique, lors d’une présentation à Finance Avenue.

Ce principe n’a pas été respecté durant l’année qui s’achève. “Il est très exceptionnel qu’il existe une corrélation positive aussi forte entre les actions et les obligations. Au cours des 100 dernières années, cela ne s’est produit que trois fois: en 2022, en 1969 et en 1931. Nous avons vécu quelque chose d’unique.”

Fonds

La hausse des taux d’intérêt rend les obligations intéressantes pour les investisseurs. Comme les banques centrales maîtrisent l’inflation et que les taux d’intérêt se stabilisent, la corrélation entre les actions et les obligations redeviendra positive. “Ceux qui ont ignoré les obligations ces dernières années ont maintenant de bonnes raisons de les réintégrer dans leur portefeuille d’investissement et d’obtenir ainsi une plus grande diversification”, conclut Gilles Coens.


Comment investir dans des obligations?

Pour commencer, les investisseurs peuvent se tourner vers les obligations individuelles. L’inconvénient est qu’ils doivent immédiatement investir dans de nombreuses obligations différentes pour répartir suffisamment les risques. Une solution consiste à choisir des fonds indiciels cotés (appelés trackers ou ETF) avec des obligations. Ce faisant, les investisseurs bénéficient d’emblée d’un large éventail de produits, tandis que les ETF affichent des coûts réduits. “La médaille a toutefois un revers: un ETF se contente de suivre un indice”, prévient Gilles Coens. “Il n’y a donc pas de gestion active. Pour les actions, les ETF sont souvent complémentaires, notamment pour les actions américaines où peu de fonds battent le marché. Le tableau n’est pas le même pour les obligations: ici, les gestionnaires de fonds peuvent parfois vraiment faire la différence.” C’est pourquoi les fonds obligataires gérés activement méritent d’être envisagés, même s’ils facturent généralement des frais de gestion plus élevés. Enfin, les investisseurs privés ne devraient pas négliger les fonds mixtes, qui investissent à la fois dans des actions et des obligations. “C’est le gestionnaire de fonds lui-même qui décide de la répartition optimale entre actions et obligations: les investisseurs ne doivent pas s’en préoccuper”, note Gilles Coens.

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